11 mai au 29 juillet | May 11 to July 29
vernissage 11 mai 18h00 | May 11 ~ 6:00PM
sbcgallery.ca
Tsēma Igharas, Riot Rock Rattles, Copper, Rawhide, Ceramic, Glass Beads, Dentalium Shells, Penny Shards and Mount Edziza Soil Sample, installation, 2016-present.
ELISA HARKINS - TSĒMA IGHARAS - HILDA NICHOLAS - JOI T. ARCAND - BRIAN JUNGEN - GABRIELLE L’HIRONDELLE HILL - MARIANNE NICOLSON - ANNIE POOTOOGOOK - WENDY RED STAR - ELISA HARKINS & NATHAN YOUNG
Wood Land School: Kahatènhston tsi na’tetiátere ne Iotohrkó:wa tánon Iotohrha / Traçant la ligne de janvier à décembre est conçue comme une exposition d'une durée d'un an qui se déploie à travers une série de gestes — un ensemble d'activités qui font entrer et sortir des œuvres de l'espace de la galerie — de sorte que l'exposition est en constant devenir.
Wood Land School: Kahatènhston tsi na’tetiátere ne Iotohrkó:wa tánon Iotohrha / Drawing a Line from January to December is conceived as a single year-long exhibition that unfolds through a series of gestures—clusters of activity that bring works into and out of the gallery space—such that the exhibition is in a constant state of becoming.
Le premier geste s’est penché sur le pouvoir que possède la ligne de marquer l'histoire et d’invoquer la mémoire. Dans ce premier geste, nous avons considéré ce que signifie hériter d’une histoire. Nous avons formulé des revendications pour les endroits où nous nous sommes sentis formés. Nous avons proposé que cela soit l’une des façons potentielles de prendre la ligne.
Dans le deuxième geste, nous nous demandons: comment la ligne se comporte-t-elle? Sous forme de vidéos, photographies, sculptures, dessins et performances, les œuvres du second geste nous montrent comment occuper le présent. Ici, dans le second geste, la ligne agit comme un point de départ pour les relations autochtones, pour cartographier le temps, la famille, les langues autochtones et les relations entre non-humains dans le présent. Et pourtant, ce n'est pas une ligne de pensée singulière. À quel moment une ligne de pensée s'effondre-t-elle ou se brise-t-elle? Dans ce second geste, nous compliquons l'idée de la ligne et de la matérialité, et conversons avec cette dernière.
Wood Land School: Kahatènhston tsi na’tetiátere ne Iotohrkó:wa tánon Iotohrha / Traçant la ligne de janvier à décembre a soulevé de nombreuses questions et idées - pour Wood Land School, pour SBC, pour les artistes et pour nos publics. Collectivement, nous considérons comment cette ligne agit, se pense et s'articule dans cette condition que nous avons créée ou dans laquelle nous sommes impliqués.
The first gesture was concerned with the power of line to mark history and invoke memory. In this first gesture, we have considered what it means to inherit a history. We have made claims for where we have felt ourselves formed. We have proposed that this is one potential way to pick up the line.
In the second gesture we ask: how does the line behave? Spanning video, photography, sculpture, drawing and performance, the works of the second gesture show us how to occupy the present. Here, in the second gesture, the line acts as a point of departure for Indigenous relations, mapping time, family, Indigenous languages and non-human relations in the now. And yet, this isn't a singular line of thought. When does a line of thinking become collapsed or disrupted? In this second gesture, we complicate and converse with the idea of the line and materiality.
Wood Land School: Kahatènhston tsi na’tetiátere ne Iotohrkó:wa tánon Iotohrha / Drawing a Line from January to December has yielded many questions and ideas—for Wood Land School, for SBC, for the artists and for our publics. Collectively, we consider how this line acts, thinks and articulates itself under this particular condition we have created or implicated ourselves in.
Commentaires
Vous pouvez suivre cette conversation en vous abonnant au flux des commentaires de cette note.