5 avril au 6 mai | April 5 to May 6
vernissage 5 avril 17h00 | April 5 ~ 5:00PM
parisianlaundry.com
« ATMOSPHERES OF FORM »
CELIA PERRIN SIDAROUS
Celia Perrin Sidarous, Open Form, 2016, impression jet d’encre sur papier mat, 76.2 x 93 cm, édition 1/5
Celia Perrin Sidarous s’inspire des thèmes du désir, des techniques d’affichage ainsi qu’aux traditions des natures mortes et de l’assemblage. En 2016, son installation photographique Notte coralli a été à la Biennale de Montréal.
Celia Perrin Sidarous draws on themes of desire, techniques of display and traditions of still life and assemblage. In 2016, her photographic installation Notte coralli was featured in La Biennale de Montréal.
ERIN SHIRREFF
Erin Shirreff, Drop (No. 16), 2015, acier laminé à chaud, 122 x 72 x 27"
Erin Shirreff travaille dans les domaines de la sculpture, de la photographie et de la vidéo. Ses œuvres étudient les manières dont ces médias se chevauchent, et l’espace entre les objets et leurs représentations. Originaire de Kelowna, en C.-B., elle a présenté des expositions à Fondazione Prada (Milan, Italie) ainsi qu’au Musée Solomon R. Guggenheim (New York, NY).
Erin Shirreff works in sculpture, photography and video. Her work looks at the ways in which these media overlap and the spaces between objects and their representations. She was born in Kelowna, BC and has exhibited at the Fondazione Prada (Milan, Italy) and the Solomon R. Guggenheim Museum (New York, NY).
LUCY SKAER
Lucy Skaer, My Terracotta Army, My Red Studio, My Amber Room II, 2013, 530 losanges en grès, laque tenmoku, dimensions variables
Lucy Skaer est une artiste multimédia qui étudie les liens entre les objets, la matérialité, la représentation et l’histoire. Ses œuvres ont été exposées au Metropolitan Museum of Art (New York, NY), au Tate Britain (Londres, R.-U.) ainsi qu’au Centre Georges Pompidou (Paris, France). En 2009, elle était en lice pour le prix Turner.
Lucy Skaer is a multimedia artist who investigates the links between objects, materiality, representation and history. Her work has been exhibited at The Metropolitan Museum of Art (New York, NY), Tate Britain (London, UK) and the Centre Georges Pompidou (Paris, France). In 2009 she was shortlisted for the Turner Prize.
KELLY JAZVAC
Kelly Jazvac, Looking at Yourself 1, 2016, vinyle adhésif recupéré, 30 x 24"
Kelly Jazvac est principalement connue pour ses œuvres de vinyle récupéré, qui s’inspirent de l’inorganique, de l’environnement et du langage publicitaire. Il a beaucoup attiré l’attention récemment en travaillant avec des plastiglomérats.
Kelly Jazvac is known primarily for her work in salvaged vinyl that draws on the inorganic, the environment and the language of advertising. Recently she has received attention for her work with plastiglomerates.
ROSE MARCUS
Rose Marcus, Imagine (Half F), 2017, impression jet d'encre sur vinyle monté sur vitre, sans encre blanche, cadre en aluminium, 51 x 75"
Rose Marcus saisit l’ambigüité de l’espace public dans ses photographies. Ses œuvres ont été exposées à la Night Gallery (Los Angeles, CA), à CANADA (New York, NY) et prochainement à l’ouverture de In the Abstract en mai 2017 à Mass MOCA (North Adams, MA).
Rose Marcus pictures the ambiguity of meaningful public space in her photographs. She has shown with Night Gallery (Los Angeles, CA), CANADA (New York, NY) and is included in In the Abstract opening in May 2017 at Mass MOCA (North Adams, MA).
MARGAUX WILLIAMSON
« A STORM »
Margaux Williamson, At the Federal, 2017, huile sur panneau, 121.9 x 152.4 cm
L’ambiance sombre et les détails saisissants des œuvres de Margaux Williamson dégagent une aura de romantisme mélancolique. Les coups de pinceau épais, les riches trames narratives et les références font écho aux dimensions tant historique que personnelle. Ce qui est remarquable avec la pratique de Williamson est la façon dont elle puise son inspiration des profondeurs poétiques et affectives des romantiques, sans traîner le bagage de souveraineté héroïque et individuelle. L’isolation est omniprésente dans son travail, mais elle est exprimée en rapport à sa complexité relationnelle, plutôt que d’être réduite à elle-même, comme un simple objet de fétiche.
The brooding ambiance and sparkling details of Margaux Williamson’s paintings radiate an aura of melancholic romanticism. Consider the thick brushstrokes, rich narratives and references to the historical and the personal. What is remarkable about Williamson’s practice is the way she is able to draw on the poetic and affective depth of the romantics without the baggage of heroic, individual sovereignty. Isolation can be sensed throughout her work, but it is rendered for its relational complexity rather than fetishized in itself.
ATMOSPHERES OF FORM
Des souvenirs ambiants : des feuilles de métal ont été lancées du haut des murs en intervalles, traçant des formes brutales et des couches d’ombre, orientées vers une dalle de béton au sud. Celle-ci est parsemée d’une grille méticuleuse de diamants noirs, qui ressemblent à de savoureux morceaux de réglisses. Un arrangement d’objets modestement placés en forme de tour a été entouré d’images lustrées. Il y avait des images de vie urbaine, de peau sur de l’argent fondu, et d’objets positionnés avec amour. Les choses et les images, les motifs et les absences s’assemblaient dans un espace où l’air devenait aussi riche que la matière tangible.
Parisian Laundry souhaite remercier Sikkema Jenkins & Co (New York, NY), Peter Freeman, Inc. (New York, NY) ainsi que Night Gallery (Los Angeles, CA) pour avoir aidé à réaliser cette exposition.
An ambient recollection: sheets of steel dropped down the walls in intervals, cutting out crude shapes and layering shadows. They pointed south to a cold concrete slab. It was scattered with a meticulous grid of black diamonds that resembled tasty pieces of liquorice. An arrangement of objects towered modestly and was surrounded by glossy pictures. There were pictures of urban life, pictures of skin on molten silver and pictures of lovingly placed items. The things and images, the patterns and absences assembled into a space where the air became rich like tangible matter.
Parisian Laundry would like to thank Sikkema Jenkins & Co (New York, NY), Peter Freeman, Inc. (New York, NY), and Night Gallery (Los Angeles, CA) for helping to make this exhibition possible.
MARGAUX WILLIAMSON
Williamson est continuellement consciente de son médium, de sa dérive dans le monde contemporain, mais aussi de ses racines bien ancrées dans le passé. Ses tableaux sont le résultat d’un processus de réfraction imparfaite, d’oscillation entre l’affirmation et l’effacement de ses sujets. Dans cette série, Williamson mise sur la nature statique de la peinture pour gagner plus de temps durant une tempête.
Margaux Williamson est née en 1976 à Pittsburgh aux États-Unis, et vie maintenant à Toronto, Canada. Elle peint, fait des films et produit des livrets qui unissent l’imagination et l’abstraction au documentaire et au réalisme. Ses œuvres sont été présentées dans le Globe & Mail, New York Times, Five Dials, BOMB magazine, Huffington Post, Vogue, the Believer magazine et bien d’autres. Elle était artiste en résidence au Musée des beaux-arts de l’Ontario à Toronto ainsi qu’au Klondike Institute for Arts & Culture au Yukon, qui a inspiré son premier livre sur la peinture, I Could See Everything, publié chez Coach House Press. Elle a également été exposée à New York à la galerie Mulherin+Pollard, puis à la galerie Frith Street de Londres.
Williamson is continuously aware of her medium, how it has been set adrift in the contemporary, yet somehow remains rooted in the past. Here painting is a process that always refracts imperfectly, oscillating between the assertion and erasure of its subjects. For this series, Williamson takes advantage of the static nature of painting to gain more time within a storm.
Margaux Williamson was born in 1976 in Pittsburgh, U.S. and now lives in Toronto, Canada. She makes paintings, movies and pamphlets that tie imagination and abstraction to documentary and realism. Her work has been covered by the Globe & Mail, the New York Times, Five Dials, BOMB magazine, Huffington Post, Vogue, the Believer magazine among others. She was the artist in residence at the Art Gallery of Ontario in Toronto and the Klondike Institute for Arts & Culture in the Yukon which lead to the making of her first book of paintings, I Could See Everything, published by Coach House Press, launched with painting shows in New York at the Mulherin+Pollard Gallery and in London UK at Frith Street Gallery.
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