Quand j'ai découvert le travail de Céline chez Joyce en 2008, j'étais pour le moins médusé. Je trouvais certains aspects de ses propositions rebutants alors que d'autres me séduisaient. Céline s'amuse justement avec les codes de beauté et de laideur, des notions au cœur de notre appréciation en arts visuels. Nous sommes vite devenus amis et c'est avec joie que je vous présente aujourd'hui notre entretien, dans le cadre de la websérie ratsdeville@montréal. Il vous suffit de cliquer l'image ci-dessous pour entrer dans l'univers débridé de cette artiste ingénieuse et engagée.
Céline B. La Terreur
When I encountered the work of Céline at Joyce in 2008, I was puzzled. I found certain aspects of her propositions to be off-putting, while others seduced me. Céline indeed plays with codes of beauty and ugly, notions at the heart of our appreciation of visual arts. We quickly became friends and it's with pleasure that I present you today our encounter, from the series ratsdeville@montréal. Simply click on the image above and enter the deliciously twisted world of this ingenious and engaged artist.
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