Pour ceux qui se demandent si ça peut « rapporter » pour les artistes d'investir du temps dans les médias sociaux, j'aimerais vous raconter cette histoire : Comme tous les matins, je faisais ma veille électronique sur Facebook, lorsque je me suis arrêté sur des images d'une exposition collective en Roumanie. J'ai fouillé dans l'album photos et suis tombé en amour avec une série de petits cranes par Nicu Duta. Je suis entré en contact avec l'artiste et il m'a confirmé les vendre pour seulement 10 euros chacun. Puis l'idée d'une commande de groupe s'est mise en place grâce à une simple note Facebook qui identifait les cranes en mode « battle-ship » et invitait un groupe d'amis à commander un ou plusieurs des « toys » si joliment décorés. Il y a quelque jours, j'ai reçu une douzaine de cranes vraiment spéciaux que je m'apprête à distribuer pour des pinottes. La morale de l'histoire c'est qu' « habiter » des plateformes sociales comme Facebook et les blogs, c'est exigeant, il faut aimer ça et y trouver son compte. Ça prend un minumum d'intérêt pour les communications et - évidement - pour ce que font les autres ET les occasions sont florissantes dans les domaines du plaisir et de la créativité. Il y a là une audience, une myriade de communautés d'intérêts qui n'attendent que votre contenu. Il suffit d'oser se mettre en valeur pour retenir leur attention.
For those who are wondering if it's a good "investment" for artists to spend time on social networks, I would like to tell you this story: Like every morning, I was surfing my Facebook home page, when I stopped on images from a collective exhibition in Romania. I went through the photo album and fell in love with a series of tiny skulls made by Nicu Duta. I contacted the artist and he confirmed that they were sold at only 10 euros each. Then, the idea of a group order was put in place with a simple Facebook note that was identifying the skulls in a « battle-ship » fashion, inviting a group of friends to order these beautiful « toys ». A few days ago, I received a dozen of the very special skulls and I'm about to dispatch them to friends for peanuts (do you say that in English?). The moral of the story is that « inhabiting » social platforms like Facebook and blogs is demanding, you need to like doing it as an end in itself. It requires a minimum of interest for communications and - obviously - for what other people do and say AND opportunities are rampant in the spheres of pleasure and creativity. There is an audience there, a multitude of community of interests that are waiting for your content. You simply need to have the audacity to show up, put yourself out there and claim your spotlight.
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