16 au 18 avril | April 16 to 18
vernissage 16 avril 19h00 | April 16 ~ 7:00PM
easternbloc.ca
JOHANN BARON LANTEIGNE - FRANÇOIS-MATTHIEU BOUCHARD - LINDSAY FICARA - ALEXANDER GAIPO - ALEC MATHEWSON - ANDREA MORRISON - ANDREA OCHOA - ADELAIDA PARDO - JEREMY RUBIER - JEFFERY TORGERSON
Seize jeunes artistes interdisciplinaires se réunissent pour explorer la potentialité de la lumière en tant que médium et métaphore, dans le cadre de l’exposition collective LUMIN. Présentées à la galerie Eastern Bloc, les installations de ces artistes touchent à l’expérience de vie, à la performance et à l’interaction, s’inspirant des thèmes unificateurs que sont la lumière et l’éclairage.
Sixteen emerging interdisciplinary artists unite to explore the potentiality of light as medium and metaphor in the collaborative exhibition LUMIN. Showing at the Eastern Bloc, these works consider the experiential, performative, and interactive in installation art, drawing on the unifying themes of light and illumination.
La lumière prend corps dans chacune des vidéos, installations ou œuvres immersives de ces artistes. De la douce nostalgie évoquée par la luminosité d’un écran de téléviseur, aux images éclatantes créées par le son et le mouvement, ces œuvres s’interrogent sur la signification de la lumière; l’expérimentation, la recherche et le savoir, l’imagination fictive, les espaces immersifs, le studio comme atelier, l’atelier comme scène, la scène comme expérimentation. Faisant référence à l’unité de mesure de la lumière, le lumen, l’exposition s’attarde à l’abstrait de la confrontation de nos perceptions ainsi qu’à ce qui rassemble les pratiques artistiques hybrides, pour ensuite s’étendre à de nouvelles idées.
Par les nouveaux médias, ces artistes veulent inviter les visiteurs à prendre part à leurs œuvres interactives. Métaphore opposant le virtuel au naturel, le passé au présent, Nature morte sert de scène à l’hologramme d’une petite fille qui s’amuse autour d’un arbre de CD, alors que Studio Aquarium for the Electronic Musician accorde la vedette à deux poissons rouges, qui deviennent les compositeurs électroniques de leur propre symphonie. De nature un peu plus pédagogique, l’installation audiovisuelle continue Sequence déforme le quotidien routinier, pendant que le Mennonite Video Archive Project devient une réflexion interactive sur la mémoire, la traduction et les archives collectives. L’exposition comporte également plusieurs vidéos monovoie et multivoie. Parmi celles-ci, on compte How to Bury Yourself, une projection trompe l’œil qui s’attarde à la claustrophobie, à la mémoire et à l’évasion, ou encore Dimensional Ties, une installation vidéo comprenant une toile d’araignée dont les fils enchevêtrés représentent les liens entre les idées.
Light is physically embodied in the practice of each artist, including video, installation, and immersive works. From the warm nostalgic glow of the TV screen to the vivid images created by sound and movement alone, the works examine notions of what illumination can mean; experimentation, research and knowledge, fictional imaginings, immersive spaces, the studio as workshop, the workshop as stage, the stage as experimentation. Referencing the unit for the measurement of light, lumens, the show looks at the abstract nature of measuring our perceptions and the convergence points of hybrid arts practices, extending from these sites into new realms of investigation.
Engaging in New Media practices, these artists strive to involve the viewer in a vibrant, interactive relationship with the art on display. A metaphor opposing the virtual to the natural environments, past to present, Nature morte incorporates an hologram of a little girl dancing around a tree of CDs, while Studio Aquarium for the Electronic Musician re-casts two goldfish as the electronic composers of their own symphony. Pedagogical explorations are found in Sequence, which defamiliarizes the mundane routines of daily life through an ever-evolving audiovisual installation, and the Mennonite Video Archive Project functions as an interactive reflection on memory, translation, and the collective archive. The show also hosts many multi channel and single channel video works, such as How to Bury Yourself, a trompe l’oeil projection which contemplates claustrophobia, memory and escape, and Dimensional Ties, a video installation incorporating a web of tangled lines that act as bridge between realms.
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