« MEXICO TERRARIUM » 28 mai au 19 juin | May 28 to June 19
vernissage 27 mai 18h00 | May 27 ~ 6:00PM
centredesartsvisuels.ca
Mexico Terrarium rassemble des peintures grands formats de techniques mixtes sur plexiglas. Dans un univers ou s’entremêle corps, jardin et animaux, les tableaux de Max Wyse nous déplacent hors de l’histoire en compagnie de personnages délibérément engagés dans des actes magiques spontanés.
Mexico Terrarium includes approximately eight large format mixed media paintings on Plexiglas. In a universe that brings together animal, vegetal and human bodies, the paintings of Max Wyse place us outside history in the company of human figures engaged in acts of spontaneous and magical transmutation and transformation.
Ces nouvelles œuvres, comprenant deux frises de huit pieds, transforment la galerie en une sorte de chambre des rêves hallucinatoire. Amalgames sortis tout droit de son propre imaginaire et de figures de la mythologie aztèque, les êtres hybrides surréalistes de Wyse, en partie humains, en partie animaux/végétaux, s’investissent dans des tâches de restructuration de leur propre habitat. Wyse exerce une manipulation créative de la forme humaine qui résulte en des créatures sans têtes, ayant des torses reptiliens ou aux jambes comme des troncs d’arbre. Toute surréelle soit l’iconographie, les œuvres n’en démontrent pas moins un souci du détail et une palette subtile dignes d’un artiste chevronné. À leur propre manière, elles se font témoins du rapport de l’homme à son environnement, rapport qui se joue en dehors de la représentation du rituel et qui provoque une existence démembrée mais complétée par la nature, à la fois inquiétante et rassurante.
L’exposition est accompagnée d’un catalogue de 16 pages, avec des textes du commissaire et écrivain montréalais reconnu James D. Campbell. L’artiste tient à remercier le Conseil des arts du Canada et le Conseil des arts et des lettres du Québec.
Né en 1974, Max Wyse vit et travaille à Montréal. Son travail a été présenté à travers le Canada à Montréal, Vancouver et Toronto ainsi qu’à Paris et New York. Son travail fait partie de plusieurs collections privées et publiques dont celle du Musée régional de Rimouski et du Prêt d’œuvres d’art du Musée national des beaux-arts du Québec. Il est récipiendaire à plusieurs reprises de bourses du Conseil des arts et des lettres du Québec ainsi que du Conseil des arts du Canada.
These new works - including two, eight-foot long horizontal freizes – transform the gallery into a kind of hallucinatory dream chamber. Amalgamations of both his own imaginings and Aztec mythological figures, Wyse’s surreal hybrid beings - part human, part animal/vegetal - seem deeply embroiled in the task of reconstructing themselves and negotiating a densely packed and often enigmatic habitat. Wyse’s creative manipulation of the human form results in headless creatures with tree stump legs, or serpant-like torsos. However surreal the iconography, the works display a draftsmanlike attention to detail and a subtly orchestrated palette. And in their own way, they make visual commentary on the interface between humanity and the environment that plays itself out beyond the representation of ritual and provokes a somewhat dismembered existence, alternately threatening and reassuring.
The exhibition is accompanied by a 16-page catalogue with text by well known Montreal writer and curator James D. Campbell. The artist would like to thank the Canada Council as well as the Conseil des arts et des lettres du Québec.
Born in 1974 in British Columbia, Max Wyse lives and works in Montreal. In his work he proposes a symbiosis between the human, plant and animal worlds, revealing the tensions under the skin of a complex reality, where the strange belongs to the quotidian. He has exhibited in Montreal, Vancouver, Toronto, New York and Paris and his work figures in numerous private and public collections.
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