« STUMBLE » jusqu’au 5 déc | until Dec 5
vernissage 31 oct 15h00 | Oct 31 ~ 3:00PM
joyceyahoudagallery.com

* english follows ~ J’ai toujours traité le corps humain non pas pour convaincre mais pour faire appel à l’imaginable. Je préfère ainsi spéculer sur des « et si » qui me permettent d’être constamment dans l’expérimentation des matériaux et des techniques. Indépendamment des médiums que j’utilise, je reviens toujours à l’idée de membrane. La membrane m’intéresse puisqu’elle me permet d’explorer la porosité, la vulnérabilité, la résistance de l’homme. Elle est en quelque sorte un théâtre de l’humain où se jouent les relations personnelles, autour desquelles s’élabore mon travail. La membrane est transitoire, contingente et perméable à l’intensité des sentiments humains.
I have always dealt with the human body in terms of making conceivable images rather than convincing images of the body. I prefer to speculate on “what if” propositions so I am driven to constantly experiment with materials and techniques. Whatever materials I use, I come back to the figure of the membrane. Membranes interest me because they allow me to explore the porosity, vulnerability and resistance of a person as a theatre of one. These are important qualities for me as my work is based on the personal relationships I have established with people around me. In this context, a membrane is a model for the transience, contingency and suppleness of intense personnel feelings.
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* english follows ~ J’ai toujours traité le corps humain non pas pour convaincre mais pour faire appel à l’imaginable. Je préfère ainsi spéculer sur des « et si » qui me permettent d’être constamment dans l’expérimentation des matériaux et des techniques. Indépendamment des médiums que j’utilise, je reviens toujours à l’idée de membrane. La membrane m’intéresse puisqu’elle me permet d’explorer la porosité, la vulnérabilité, la résistance de l’homme. Elle est en quelque sorte un théâtre de l’humain où se jouent les relations personnelles, autour desquelles s’élabore mon travail. La membrane est transitoire, contingente et perméable à l’intensité des sentiments humains.
I have always dealt with the human body in terms of making conceivable images rather than convincing images of the body. I prefer to speculate on “what if” propositions so I am driven to constantly experiment with materials and techniques. Whatever materials I use, I come back to the figure of the membrane. Membranes interest me because they allow me to explore the porosity, vulnerability and resistance of a person as a theatre of one. These are important qualities for me as my work is based on the personal relationships I have established with people around me. In this context, a membrane is a model for the transience, contingency and suppleness of intense personnel feelings.
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